Titre : |
Quelle agriculture pour l'Algerie ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Abdelhamid Abdelaziz, Auteur |
Editeur : |
OPU |
Année de publication : |
2009 |
Importance : |
183 p |
Présentation : |
ill |
Format : |
15 X 22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-9961-0-1242-0 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
Index. décimale : |
630 Agriculture et techniques connexes |
Résumé : |
Quelle agriculture pour l’Algérie, est une question d’actualité économique et sociale qui consiste à relever les défis stratégiques décisionnels et opérationnels en matière de survivances du sous développement agraire et sociétal, produit historique colonial régressif, et dualiste, très marqué dans les campagnes, en vue de satisfaire une demande alimentaire croissante liée à la démographie, à l’urbanisation et au marché extérieur, au maintien d’une forte population rurale, au respect des principes clés des équilibres du développement ( nature – Homme –activités) et à la préservation des ressources naturelles. L’histoire atteste de l’intérêt des occupants étrangers à s’accaparer des richesses de l’agriculture et des révoltes des autochtones accrochés ancestralement à leur terre, comme elle nous illustre que la croissance du secteur agricole qui était à l’origine a entraîné la croissance des autres secteurs de l’économie et donc, a permis l’essor des pays avancés. Pour cela, les activités agricoles, au lieu de constituer un frein de développement, peuvent produire, diversifier, contribuer davantage à la richesse de la nation et harmoniser les politiques sectorielles de l’économie. D’autant plus que le niveau actuel du développement de l’Algérie le permet, qu’il est nécessaire, possible et avantageux de concrétiser ces ajustements, dans le cadre d’une stratégie de développement et d’aménagement du territoire intégrée,globale et flexible à la conjoncture internationale Montpellier - France traitant de« la révolution agricole et le réajustement du développement en Algérie ». Depuis 1962, la société et l' économie non seulement ont changé, mais se transforment pour des rai sons diverses (structure de la contribution à la PIB n'est plus la même, dominée par les hydrocarbures, la liberté du marché a favorisé les services, le .pays a adhéré à l' UE, et négocie son entrée à l'OMS). Concentrée à hauteur de 91 ,3%, la population dans les zones du nord, n'occupe que 10% de la superficie du territoire où sont regroupées les activités économ iques et sociales. Le taux d' urbanisation est passé de 38% en 1962 à 65 % en 2008 et, sa tendance prévue est à la hausse. En somme, depuis l' indépendance jusqu'ici, notre société bénéficie d' une amélioration constante de son niveau de vie (revenu, emploi, pouvoir d'achat) et évolue dans de nouvelles conditions (nourriture, habitat, école, santé, loisirs). Ce progrès global en Algérie, est illustré périodiquement par les indicateurs de la croissance économique et, les indices de développement. Le secteur agricole n'est pas en reste, jadis dualiste et régressif, dominé par une paysannerie pauvre et aliénée. tend surtout ces dernières années, à améliorer ses performances, eu égard aux multitudes causes qui freinaient son développement. |
En ligne : |
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Format de la ressource électronique : |
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Quelle agriculture pour l'Algerie ? [texte imprimé] / Abdelhamid Abdelaziz, Auteur . - Algerie : OPU, 2009 . - 183 p : ill ; 15 X 22 cm. ISBN : 978-9961-0-1242-0 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
Index. décimale : |
630 Agriculture et techniques connexes |
Résumé : |
Quelle agriculture pour l’Algérie, est une question d’actualité économique et sociale qui consiste à relever les défis stratégiques décisionnels et opérationnels en matière de survivances du sous développement agraire et sociétal, produit historique colonial régressif, et dualiste, très marqué dans les campagnes, en vue de satisfaire une demande alimentaire croissante liée à la démographie, à l’urbanisation et au marché extérieur, au maintien d’une forte population rurale, au respect des principes clés des équilibres du développement ( nature – Homme –activités) et à la préservation des ressources naturelles. L’histoire atteste de l’intérêt des occupants étrangers à s’accaparer des richesses de l’agriculture et des révoltes des autochtones accrochés ancestralement à leur terre, comme elle nous illustre que la croissance du secteur agricole qui était à l’origine a entraîné la croissance des autres secteurs de l’économie et donc, a permis l’essor des pays avancés. Pour cela, les activités agricoles, au lieu de constituer un frein de développement, peuvent produire, diversifier, contribuer davantage à la richesse de la nation et harmoniser les politiques sectorielles de l’économie. D’autant plus que le niveau actuel du développement de l’Algérie le permet, qu’il est nécessaire, possible et avantageux de concrétiser ces ajustements, dans le cadre d’une stratégie de développement et d’aménagement du territoire intégrée,globale et flexible à la conjoncture internationale Montpellier - France traitant de« la révolution agricole et le réajustement du développement en Algérie ». Depuis 1962, la société et l' économie non seulement ont changé, mais se transforment pour des rai sons diverses (structure de la contribution à la PIB n'est plus la même, dominée par les hydrocarbures, la liberté du marché a favorisé les services, le .pays a adhéré à l' UE, et négocie son entrée à l'OMS). Concentrée à hauteur de 91 ,3%, la population dans les zones du nord, n'occupe que 10% de la superficie du territoire où sont regroupées les activités économ iques et sociales. Le taux d' urbanisation est passé de 38% en 1962 à 65 % en 2008 et, sa tendance prévue est à la hausse. En somme, depuis l' indépendance jusqu'ici, notre société bénéficie d' une amélioration constante de son niveau de vie (revenu, emploi, pouvoir d'achat) et évolue dans de nouvelles conditions (nourriture, habitat, école, santé, loisirs). Ce progrès global en Algérie, est illustré périodiquement par les indicateurs de la croissance économique et, les indices de développement. Le secteur agricole n'est pas en reste, jadis dualiste et régressif, dominé par une paysannerie pauvre et aliénée. tend surtout ces dernières années, à améliorer ses performances, eu égard aux multitudes causes qui freinaient son développement. |
En ligne : |
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