| Titre : |
Pensr l'école Penser la société : réflexions sociologiques sur l'éducation au maroc |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
RAHMA BOURQIA, Auteur |
| Editeur : |
Casablanca : La croisée des chemins |
| Année de publication : |
2012 |
| Importance : |
207 P. |
| Présentation : |
couv. ill. en coll. |
| Format : |
21x 14 cm. |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-9954-1-0643-3 |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
| Index. décimale : |
370 Education, enseignement |
| Résumé : |
L'école est aujourd'hui incrustée dans la société, elle subit sa dynamique et se trouve confrontée à ses grands défis. Entre l'école et la société fonctionne l'effet de miroir. L'école renvoie à la société sa propre image. La société à son tour rejette l'image d'une école qui lui renvoie sa propre image. Il en résulte que le produit de l'éducation est dévalorisé et critiqué, et que l'institution éducative perd sa capacité à mener la société vers « la grande transformation » et vers un progrès accompli. Il est évident que l'école, sans se surélever au-dessus de la société au point d'en être dissociée, est supposée constituer sa conscience et non pas son image. C'est en étant sa conscience qu'elle pourrait être le moteur qui propulse la société marocaine dans l'avenir. |
Pensr l'école Penser la société : réflexions sociologiques sur l'éducation au maroc [texte imprimé] / RAHMA BOURQIA, Auteur . - Casablanca : La croisée des chemins, 2012 . - 207 P. : couv. ill. en coll. ; 21x 14 cm. ISBN : 978-9954-1-0643-3 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
| Index. décimale : |
370 Education, enseignement |
| Résumé : |
L'école est aujourd'hui incrustée dans la société, elle subit sa dynamique et se trouve confrontée à ses grands défis. Entre l'école et la société fonctionne l'effet de miroir. L'école renvoie à la société sa propre image. La société à son tour rejette l'image d'une école qui lui renvoie sa propre image. Il en résulte que le produit de l'éducation est dévalorisé et critiqué, et que l'institution éducative perd sa capacité à mener la société vers « la grande transformation » et vers un progrès accompli. Il est évident que l'école, sans se surélever au-dessus de la société au point d'en être dissociée, est supposée constituer sa conscience et non pas son image. C'est en étant sa conscience qu'elle pourrait être le moteur qui propulse la société marocaine dans l'avenir. |
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