Titre : |
Le vent dans le musée |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Abderrahmane Zakad, Auteur |
Editeur : |
Editions Alpha |
Année de publication : |
2006 |
Importance : |
210P |
Présentation : |
ILL |
Format : |
17X24 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-9961-780-10-7 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
Mots-clés : |
Le vent musée |
Index. décimale : |
840 Littérature des langues romanes. Littérature française |
Résumé : |
Les Editions Alpha prennent un gros risque commercial en publiant un recueil de nouvelles. Non pas que l’écrivain Abderrahmane Zakad n’est pas à la hauteur, puisqu’il a fait déjà ses preuves, mais tout bonnement parce que ce genre ne se vend plus, à l’instar de la poésie. Déjà que le roman a du mal à trouver un large lectorat dans notre pays ! Qu’en sera-t-il d’un recueil de nouvelles ? Zakad est loin d’ignorer cela puisqu’il dédie étrangement son livre à tous ceux qui ne lisent pas. Pourtant, cette logique peut ne pas être valable car ce nouveau livre de Abderrahmane Zakad vaut vraiment le détour pour ses qualités littéraires. Né le 15 juillet 1938 à Sétif, d’un père originaire de Boussaâda et d’une mère de Bgayet, Zakad a été élevé à Bgayet, indique Achour Cheurfi dans son dictionnaire des écrivains algériens. Zakad effectue sa scolarité dans cette ville en suivant des cours à la médersa chez le célèbre Ali Chentir. Il fait l’école de troupe de Koléa et l’école des officiers de Strasbourg avant de déserter et rejoindre la fédération du FLN. Démobilisé après la “Guerre des sables” en 1964, il entreprend des études à l’institut d’urbanisme d’Alger et occupe diverses fonctions techniques dont celle de chef de département des aménagements d’Alger. Son ami et copain d’enfance, Saïd Mekbel l’initie à la littérature quand tous les deux habitaient Bab El Oued, toujours d’après le témoignage de Achour Cheurfi. Il s’intéresse de près au nouveau langage des jeunes et avoue ses penchants suicidaires tout en ajoutant que grâce à la psychiatrie, il a pu y échapper. Son premier récit raconte l’histoire de Malika, une femme divorcée, sans diplôme mais entreprenante, qui, pour faire vivre ses trois enfants, se lance dans le trabendo. Le romancier à travers ce personnage se livre à une radioscopie de la société algérienne rongée par les plaisirs de la consommation ostentatoire : « Le chic, le chèque et le choc ». Ce livre s’intitule Trabendo. Il a été publié aux éditions Marsa que dirige le romancier Aissa Khelladi. En 2003, Zakad publie un recueil de poésies Un chat est un chat puis, en 2004, un roman sous le titre de Les jeux de l’amour et de l’honneur chez les Editions Bibliopolis.Le livre contient vingt et une nouvelles. Le vent dans le musée a été nominé lors du concours Mohamed Dib en 2003. |
En ligne : |
https://librairie-averroes.com/242-home_default/la-derniere-priere.jpg |
Le vent dans le musée [texte imprimé] / Abderrahmane Zakad, Auteur . - [S.l.] : Editions Alpha, 2006 . - 210P : ILL ; 17X24. ISBN : 978-9961-780-10-7 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
Mots-clés : |
Le vent musée |
Index. décimale : |
840 Littérature des langues romanes. Littérature française |
Résumé : |
Les Editions Alpha prennent un gros risque commercial en publiant un recueil de nouvelles. Non pas que l’écrivain Abderrahmane Zakad n’est pas à la hauteur, puisqu’il a fait déjà ses preuves, mais tout bonnement parce que ce genre ne se vend plus, à l’instar de la poésie. Déjà que le roman a du mal à trouver un large lectorat dans notre pays ! Qu’en sera-t-il d’un recueil de nouvelles ? Zakad est loin d’ignorer cela puisqu’il dédie étrangement son livre à tous ceux qui ne lisent pas. Pourtant, cette logique peut ne pas être valable car ce nouveau livre de Abderrahmane Zakad vaut vraiment le détour pour ses qualités littéraires. Né le 15 juillet 1938 à Sétif, d’un père originaire de Boussaâda et d’une mère de Bgayet, Zakad a été élevé à Bgayet, indique Achour Cheurfi dans son dictionnaire des écrivains algériens. Zakad effectue sa scolarité dans cette ville en suivant des cours à la médersa chez le célèbre Ali Chentir. Il fait l’école de troupe de Koléa et l’école des officiers de Strasbourg avant de déserter et rejoindre la fédération du FLN. Démobilisé après la “Guerre des sables” en 1964, il entreprend des études à l’institut d’urbanisme d’Alger et occupe diverses fonctions techniques dont celle de chef de département des aménagements d’Alger. Son ami et copain d’enfance, Saïd Mekbel l’initie à la littérature quand tous les deux habitaient Bab El Oued, toujours d’après le témoignage de Achour Cheurfi. Il s’intéresse de près au nouveau langage des jeunes et avoue ses penchants suicidaires tout en ajoutant que grâce à la psychiatrie, il a pu y échapper. Son premier récit raconte l’histoire de Malika, une femme divorcée, sans diplôme mais entreprenante, qui, pour faire vivre ses trois enfants, se lance dans le trabendo. Le romancier à travers ce personnage se livre à une radioscopie de la société algérienne rongée par les plaisirs de la consommation ostentatoire : « Le chic, le chèque et le choc ». Ce livre s’intitule Trabendo. Il a été publié aux éditions Marsa que dirige le romancier Aissa Khelladi. En 2003, Zakad publie un recueil de poésies Un chat est un chat puis, en 2004, un roman sous le titre de Les jeux de l’amour et de l’honneur chez les Editions Bibliopolis.Le livre contient vingt et une nouvelles. Le vent dans le musée a été nominé lors du concours Mohamed Dib en 2003. |
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