Titre : |
L'homme social a son corps dépendant : Analogies comportementales entre les cellules biologiques et les sociétés humaines |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Berenholc Simon |
Editeur : |
L'harmattan |
Année de publication : |
2015 |
Importance : |
314 p |
Format : |
24×15.5 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-343-05633-3 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
Index. décimale : |
304 Influence des facteurs naturels sur les processus sociaux |
Résumé : |
Nous vivons en société, nos cellules aussi. Curieusement, l'individu et la cellule ont souvent des comportements fonctionnels comparables. La biosociologie montre que les organes biologiques et les organismes sociaux ont des analogies fonctionnelles. L'association des cellules a fabriqué des espèces, dont certaines ont disparu, remplacées par des nouvelles, aux caractères en conformité à leur environnement.
Il en est de même pour les idéologies, acceptées ou rejetées selon leur conformité aux besoins du contexte sociétal, et les Etats qu'elles dominent. Les relations humaines créent forcément des obligations, gérées par des lois, des morales, et surtout une éthique, qui se devrait d'être universelle. Mais les comportements vitaux subsistent, toujours semblables parmi les organismes vivants, et ils peuvent aussi se retrouver analogues avec les conduites sociales des humains.
De plus, le comportement social de l'individu est également tributaire du corps biologique qui le sous-tend, il est de son corps dépendant. |
L'homme social a son corps dépendant : Analogies comportementales entre les cellules biologiques et les sociétés humaines [texte imprimé] / Berenholc Simon . - France : L'harmattan, 2015 . - 314 p ; 24×15.5 cm. ISBN : 978-2-343-05633-3 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
Index. décimale : |
304 Influence des facteurs naturels sur les processus sociaux |
Résumé : |
Nous vivons en société, nos cellules aussi. Curieusement, l'individu et la cellule ont souvent des comportements fonctionnels comparables. La biosociologie montre que les organes biologiques et les organismes sociaux ont des analogies fonctionnelles. L'association des cellules a fabriqué des espèces, dont certaines ont disparu, remplacées par des nouvelles, aux caractères en conformité à leur environnement.
Il en est de même pour les idéologies, acceptées ou rejetées selon leur conformité aux besoins du contexte sociétal, et les Etats qu'elles dominent. Les relations humaines créent forcément des obligations, gérées par des lois, des morales, et surtout une éthique, qui se devrait d'être universelle. Mais les comportements vitaux subsistent, toujours semblables parmi les organismes vivants, et ils peuvent aussi se retrouver analogues avec les conduites sociales des humains.
De plus, le comportement social de l'individu est également tributaire du corps biologique qui le sous-tend, il est de son corps dépendant. |
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